Shama Kabani, experte en marketing, nous offre une lecture de l’approche du co-fondateur d’Apple.
Steve Jobs a fondé Apple à 21 ans. Son époque, c’était un « jeune prodige » mais maintenant cette tranche d’âge d’entrepreneurs est une toute autre génération, appelée génération du Millénaire. Nous avons grandi dans un monde où Apple est une référence électronique d’abord, un fruit ensuite. Avec 18 milliards d’apps téléchargés, Steve Jobs n’a pas juste ouvert la voie à notre génération — il a créé notre mode de vie.
Voici 10 leçons que sa vie et son exemple de carrière peuvent nous enseigner.
1. Aller où le palet sera : Steve Jobs a suivi le conseil de Wayne Gretzky : “un bon joueur de hockey joue où le palet est. Un grand joueur de hockey joue où le palet sera .” Jobs est allé là où il a vu que la technologie allait, pas où elle était déjà allée. Ne vous concentrez pas juste où vous avez été ou ce qui existe actuellement . Concentrez-vous ce à ressemblera demain .
2. Une bonne chose prend du temps pour construire : Quand Jobs a acheté les Studios Pixar, c’était un grand n’importe quoi. Leur première réalisation complète, Toy Story, a pris des années de développement . Beaucoup d’argent et de patience. Et Jobs en avait. Beaucoup de jeunes de la « Génération Y » manquent de patience. L’instabilité professionnelle est aujourd’hui un trait commun mais néanmoins indésirable.
3. Différenciez-vous : Ses col roulé noirs et son style de présentation unique ont fait émerger Jobs de la masse. Dans une mer d’entrepreneurs tech, il a trouvé une façon de rendre les geeks sympathiques. La génération Y s’est différenciée comme groupe, mais il vous appartient de ressortir comme individu aussi. Soyez inoubliable.
4. N’utilisez pas de temps comme une excuse : Jobs est mort à seulement 56 ans, et comme le reste d’entre nous, il avait aussi seulement 24 heures par jour. Mais, il a accompli plus dans sa courte vie que la plupart en des vies multiples. Renoncez à l’excuse que vous êtes trop occupés ou qu’il n’y a pas assez de temps.
5.Maintenez le focus : c’est une qualité rare dans les gens à travers les générations, mais Jobs la maîtrisait. Il a concentré son temps et attention sur les choses les plus importantes pour lui et sa société.
6.Le coup d’oeil : Vous ne devez pas être un bon créateur pour apprécier le bon design. Les produits d’Apple se sont distingués parce qu’ils ont été impeccablement conçus et esthétiquement attirants. Simplement, ils étaient beaux. Mais le design s’étend à toutes choses. Ne rendez pas un rapport s’il n’est pas beau à voir. Sognez la forme de votre mail avant de l’envoyer à votre patron. Le design est dans les détails. Ne l’ignorez pas.
7.Apprenez quand monter au créneau et quand rester en retrait. Quand Apple s’est rendu compte qu’il avait encore besoin de Jobs en 1996, il a pris la barre avec toute sa présence. Et, quand Michael Dell a recommandé que Apple
vende ses parts et s’excuse auprès des actionnaires, Jobs a ignoré son commentaire et a continué à construire.
Mais, quand il a estimé qu’il ne pouvait plus faire son travail, il s’est écarté. Pour réussir, vous devez savoir monter au créneau comme un vrai leader, et quand rester au fond, comme un vrai leader également.
8. Apprenez à trans-polliniser : Jobs disait souvent que s’il n’avait pas pris de cours de calligraphie au Collège de Reed, il n’aurait jamais trouvé les différentes polices de caractère pour Mac. Apprendre dans votre domaine professionnel est bien, mais les meilleures idées viennent d’un élargissement de vos perspectives d’apprentissage.
9.Comprenez la valeur d’une équipe : Quand demandé de son modèle de business, Jobs a répondu dans une interview, “Mon modèle de business, ce sont les Beatles : Ils étaient quatre gars qui ont surveillé les uns pour les autres leur part d’ombre. Ils se sont équilibrés. Et l’ensemble était plus réussi que la somme des parties. Les grandes choses dans les affaires ne sont pas faites par une personne, mais par une équipe.
10. N’écoutez pas les critiques : Et plus haut vous irez, plus elles s’élèveront. Steve Jobs recevait des critiques, mais il a voulu les ignorer. Jobs a personnifié les mots de Theodore Roosevelt il y a environ 100 ans :
“Ce n’est pas le critique qui compte : pas celui qui montre comment le fort trébuche ou comment le courageux aurait pu mieux faire. Celui qui est important, c’est celui qui est dans l’arène, dont le visage est maculé de poussière, de sueur et de sang, qui donne sa force, qui erre, qui rate son coup encore et encore, parce qu’il n’y a aucun effort sans erreur ou manque, mais qui connaît l’enthousiasme, la dévotion, qui se dépense pour une cause noble; qui, au mieux, connaît, à la fin, le triomphe de haute réalisation. Celui qui, au pire, s’il échoue, au moins il échoue en gagnant une grande audace. Il ne cohabite jamais avec ces âmes frileuses et timides qui ne connaîtront jamais ni victoire, ni échec. ”
Article original : http: // http://www.portfolio.com/companies-executives/2011/10/07/ten-things-gen